«J’avais de la difficulté à garder un emploi. Je souffre de troubles d’anxiété et je fais des crises de panique. J’ai eu besoin d’aide alimentaire lorsque je me suis retrouvée sur l’aide sociale. Je n’étais pas fière de ça. Je voulais travailler», Marie-Loup, 22 ans.
Grâce au Comptoir d’entraide de Saint-Jérôme, qui travaille de concert avec des partenaires locaux, Marie-loup a intégré l’équipe du Comptoir et a pris confiance en elle. Elle apprécie l’encadrement dont elle bénéficie, qui respecte ses limites, et son anxiété a beaucoup diminué. Elle répare les jouets et peu à peu, répond aux besoins des clients. Elle est la première surprise d’être maintenant en mesure de travailler avec le public, et de se sentir à l’aise.
Plus de 5000 heures de travail, offerts dans les trois comptoirs d’entraide administré par Centraide Laurentides, permettent à des personnes de trouver leur place dans la société.